Du rêve...a la réalité ?

Je vous présente ma fic qui est partie d'une idée qui trotais dans ma tête ^^'

Introduction

Chez moi, six heure du matin, je me levais a cause du réveille et surtout de ma mère qui avait la sale habitude de me crier dessus quand je mettais du temps a me lever. Cinq minutes plus tard je décidais enfin à me lever, je pris mon petit déjeuné, puis j’allais dans man chambre pour m’habiller. A six heures et demie je finissais de me préparer, vérifiant que je n’avais oublié aucun de mes cours. Je pris mon sac et l’emmena dans la salle à manger. Un quart d’heure plus tard, ma mère me dit qu’il était l’heure de partir, je pris mon sac, mon blouson et je montais dans la voiture. En cinq minutes nous arrivâmes à l’arrêt du bus, je descendis de la voiture et partie vers l’arrêt du bus. Sept heure cinq le bus décida enfin a montrer le bout de son nez, c’est pas que j’étais pressé d’aller en cours, loin de la, mais c’est qu’il ne faisait pas très chaud dehors. Le voyage se passa sans problème, je descendis a mon arrêt et descendis la rue qui menait jusqu’au lycée, je ne voulais pas revoir la tête de mes professeurs, mais c’est pas comme si j’avais vraiment le choix. J’arrivais devant mes amies a qui je dis bonjour puis c’était l’heure de rentrer, le portail du lycée venait d’être ouvert. Je rentrais alors dans le bâtiment et partie vers la salle de classe, j’avais français avec un professeur que je ne pouvais pas me voir. Pourquoi ? Vraisemblablement que elle aussi pouvait pas me voir, pourquoi sa je l’ignorais. Puis j’eus cours d’Anglais, suivit de la récréation et une heure d’histoire/géographie. Après j’eus une heure sans cours et après c’étais enfin l’heure pour moi d’aller manger, enfin pour le peu que l’on pouvait manger à la cantine, la nourriture n’était vraiment pas super bonne, ou étais-je entrain de me tromper ? En effet ce jour la c’était steak haché frites. Après avoir fini et ramené mon plateau je pris mon téléphone et décida de téléphoner à une amie. Nous restâmes plus une heure au téléphone, puis à quatorze heure vint l’heure de la reprise des cours. Une horreur, cours de nutrition, puis vint encore l’heure de la récréation, une heure de microbiologie, cours a dormir debout, puis un cours ou l’on pouvait faire n’importe quoi, TP. Puis vint enfin l’heure que nous attendions toutes. Dix-sept heures. Je partie vers la sortie du lycée et vers l’arrêt du bus, pour enfin rentrer chez moi. Le bus arriva juste au moment où j’arrivais à l’arrêt du bus, je montais dans le bus et je m’installais. Les choses allaient se compliquer dès maintenant, en arrivant a mis trajet deux robots, un échidné rouge, aux yeux verts, l’autre un hérisson bleu aux yeux rouges. Je les reconnu de suites, Métal Knuckles et Métal Sonic. Je décidais de me cacher entre les fauteuils du bus en espérant qu’il ne me verrait pas. C’est alors que comme part hasard le hérisson de métal se mit à prononcer qu’une phrase.

Métal Sonic : « Nous recherchons une dénommée Alice ! »

C’est alors qu’une fille qui est dans mon lycée et qui m’avais vue me cacher se mit à hurler que j’étais caché au quatrième rang, et elle pointa du doigt la place ou je me trouvais. Les deux robots se dirigèrent alors vers moi et…me trouvèrent. Je commençais alors a me demandais comment ils me connaissaient et comment ils m’avaient retrouvé. C’est alors que cette fois l’échidné m’adressa la parole.

Métal Knuckles : « Ne fais qu’un seul faux pas ou un seul geste brusque et il en ira de ta vie. »

Obligée de ne pas bouger, j’attendis d’arriver à mon arrêt pour descendre. Les deux robots pointant leurs armes sur moi, je descendis du bus mais je n’en étais pas pour autant rassurée, en effet comment allaient-ils créer l’illusion que je suis bien rentrée chez moi ? Ils savaient tous dans le lycée que deux robots me retenaient maintenant. Puis Métal Sonic claqua des doigts et une forme robotique à ma parfaite image arriva. Je ne compris pas très bien ce qui venait de se passer, et je n’aurais certainement jamais l’occasion de le savoir car sans me rendre compte je venais de me faire assommer. Puis nous disparûmes de la ville. Mais où allions aller ? Et qui avait bien pu me faire ce coup en douce en sachant que ce ne pouvait être aucun des deux robots car ils étaient resté en face de moi.